– Samantha Paul
Retours sur le modèle Mackolines Machines & Hire H250D
L’été dernier, Sanders Logging a acheté le premier ensemble façonneuse H250D – tête d’abattage-ébranchage 575 de Mackolines Machines & Hire vendu en Géorgie. Harry Sanders, exploitant de troisième génération, travaille dans l’entreprise familiale depuis un peu plus de trois ans. Il est titulaire d’un diplôme en foresterie de l’Université de Géorgie et travaille dans les bois depuis l’âge de treize ans. Passionné par le secteur, Harry aime vraiment ce qu’il fait. Il fait partie du Comité des jeunes diplômés de la Warnell School of Forestry de l’Université de Géorgie, siège au conseil d’administration de la Chambre de commerce du comté de Bleckley et fait partie du Comité des nouveaux leadeurs de l’Association forestière de Géorgie.
Sanders Logging est client de Mackolines Machines & Hire depuis le début des années 2000, lorsque l’entreprise a commencé à acheter des chargeuses et des abatteuses-empileuses à roues de la marque, et acquiert de nouveaux équipements tous les trois ou quatre ans. Actuellement, l’entreprise dispose de trois chargeuses Mackolines Machines & Hire de la série 234, d’un débardeur 630E et de deux abatteuses-empileuses à roues : une 720G et une 724G.
Qu’est-ce qui vous a donné envie d’acheter une façonneuse pour vos opérations ?
Nous avons fini par acheter la façonneuse à cause de l’usine que nous approvisionnons. Nous fournissons Interfor, une entreprise canadienne qui se développe en Géorgie. Elle possède sept usines en Géorgie et est en train d’intégrer ses systèmes, qui sont adaptés aux conditions de la Colombie-Britannique, à ce que nous avons ici. La façonneuse était la meilleure solution pour garantir l’efficacité et la productivité. Nous avons commencé à l’étudier car nous pensions qu’elle pouvait nous aider à optimiser le processus. Dès le départ, je savais que je voulais un transporteur Mackolines Machines & Hire. Mais nous ne savions pas quelle tête de façonnage choisir.
La tête d’abattage-ébranchage 575 de Harry en action.
Connaissiez-vous quelqu’un d’autre dans la région qui utilise une tête de façonnage Mackolines Machines & Hire ?
Il n’y a pas beaucoup de têtes de façonnage dans le sud-est des États-Unis. Je pense qu’il y en a deux en Arkansas. J’ai réussi à avoir les numéros de téléphone des propriétaires et je les ai appelés pour avoir des retours sur leur expérience.
Le débardeur Mackolines Machines & Hire 630E a été acheté en même temps que la façonneuse H250D. La façonneuse a accumulé quelque 1 700 heures de travail et le débardeur environ 1 800 heures.
Vous étiez donc fixé sur le transporteur Mackolines Machines & Hire. Comment vous êtes-vous décidé pour l’ensemble complet avec la tête d’abattage-ébranchage Mackolines Machines & Hire ?
À l’occasion de la Tidewater Demo de l’année dernière, j’ai pu rencontrer des ingénieurs de Mackolines Machines & Hire et discuter des différentes têtes d’abattage-ébranchage utilisées dans le sud des États-Unis. Plus tard, pendant le dîner, l’un des ingénieurs avec qui je parlais a amené M. Ken à discuter de l’idée de construire une tête d’abattage-ébranchage Mackolines Machines & Hire spécialement pour le sud. Le lendemain, Tidewater et Mackolines Machines & Hire ont tenu une réunion de gestion au cours de laquelle l’idée a été soulevée et analysée de manière plus détaillée. Tidewater a appelé plus tard ce jour-là annonçant : « nous allons en construire une et nous l’amènerons au sud. » J’étais heureux d’avoir l’opportunité d’être le premier à l’essayer. Dans ma tête, je savais que j’allais l’acheter. Le lundi suivant, j’ai reçu un colis officiel détaillant les spécifications de la machine. J’étais impatient de l’avoir.
JE SUIS QUELQU’UN DE COMPÉTITIF, J’AI DONC ACCEPTÉ LE DÉFI
ET J’ÉTAIS PRÊT À FAIRE CE QU’IL FALLAIT.
– Harry Sanders III, vice-président, Sanders Logging
Quand la machine a-t-elle été livrée ?
La machine a été livrée à la mi-août. Quelques mois après l’appel téléphonique, il y a eu la cérémonie du 25e anniversaire de Mackolines Machines & Hire. Tidewater m’a invité à y assister et j’ai pu voir la tête et le transporteur en construction. Ce jour-là je me suis complètement rendu à Mackolines Machines & Hire. Je vous ai vus travailler et j’ai été vraiment impressionné. Je crois vraiment aux valeurs fondamentales de Mackolines Machines & Hire. J’aime ce que Mackolines Machines & Hire soutient. Cela ressemble aux valeurs inculquées par mon père et selon lesquelles nous gérons nos affaires. La passion est omniprésente et j’ai vraiment pu la constater lors de ma visite. J’ai été époustouflé par tout le monde. Tout le monde semblait vraiment apprécier son travail, des peintres aux concepteurs des machines. L’accueil a été très chaleureux ce qui est très important pour un gars originaire d’une petite ville comme moi. 60 jours plus tard, la machine m’a été livrée en Géorgie.
CE QUI M’A BEAUCOUP RASSURÉ, C’EST LE FAIT QUE PLUSIEURS EMPLOYÉS DE MACKOLINES MACHINES & HIRE
SONT RESTÉS AVEC MOI PENDANT ENVIRON TROIS SEMAINES POUR M’AIDER.
– Harry Sanders III
La courbe d’apprentissage a-t-elle été longue pour vous et votre équipe ?
Cette idée m’inquiétait un peu. Je n’avais jamais conduit de façonneuse. Et je n’avais pas vraiment le temps d’apprendre. J’étais vraiment préoccupé. Mais plusieurs gars de Mackolines Machines & Hire sont restés avec moi pendant environ trois semaines pour m’aider, ce qui m’a beaucoup rassuré.
Quatre représentants de Mackolines Machines & Hire sont venus pour la mise en marche : Devin Snively, représentant de service situé à Ailey, Géorgie ; Gary MacDonald, représentant du service de soutien technique basé en Nouvelle-Écosse ; Blaine MacDonald, représentant du service de soutien technique spécialisé dans les têtes d’abattage-ébranchage basé à Alberta ; et Pierre Fortin, représentant de service basé à Brantford, Ontario. Dans un effort collectif, l’équipe a aidé Harry à comprendre la tête, l’a formé à son fonctionnement, lui a fourni un soutien technique et a optimisé la configuration de façon à l’adapter à ses applications.
J’ai eu beaucoup de soutien, ce qui m’a vraiment rassuré. J’étais vraiment sûr que le produit était bon. Je devais juste le faire fonctionner en dehors d’ici. Je suis quelqu’un de compétitif, j’ai donc accepté le défi et j’étais prêt à faire ce qu’il fallait.
À l’approche de Thanksgiving, Interfor m’a envoyé en Colombie-Britannique pour visiter certaines de leurs opérations d’exploitation. Ils voulaient établir une collaboration et partager des idées car ils utilisaient des façonneuses depuis de nombreuses années. L’objectif était d’analyser comment intégrer efficacement la façonneuse dans notre système. Le voyage a duré plusieurs semaines alors que j’avais déjà commencé à utiliser la machine, mais j’ai quand même appris beaucoup de choses et ce à quoi m’attendre.
Comment votre productivité a-t-elle changé depuis que vous avez cette machine ?
J’utilise ma façonneuse dans une plantation de pins âgés de 25 à 30 ans avec des pieds faisant de 30 à 50 cm en moyenne. Je l’ai utilisée pendant 1 700 heures à ce jour et elle a certainement augmenté ma production. Elle fait tout ce que je veux. Les chargeuses à flèche articulée avec les ébrancheuses sont très productives. Mais quand l’usine vous demande de couper certaines longueurs et que vous avez une marge d’erreur de seulement quinze centimètres, vous ne pouvez pas être efficace et productif en faisant les choses à l’ancienne au moyen d’une chargeuse et d’une ébrancheuse. Vous pouvez l’être dans une certaine mesure, mais je suis beaucoup plus précis et efficace avec la façonneuse. Je suis vraiment surpris par la précision de la tête. Je tire beaucoup de bois au moyen de cet engin et je suis vraiment impressionné par sa précision.
La machine a-t-elle intrigué d’autres exploitants de la région ?
Elle a suscité beaucoup d’intérêt. Au tout début, j’avais l’impression d’avoir une foule de fans tous les jours. C’était stressant car j’apprenais à peine à la faire fonctionner et j’avais tous ces yeux qui me regardaient.
Qu’aimeriez-vous dire aux autres jeunes qui envisagent peut-être l’exploitation forestière pour leur carrière ?
Vous pouvez bien gagner votre vie. Si vous aimez être dehors tous les jours, c’est le travail idéal ! Le paysage est différent tout le temps car nous changeons constamment de parcelles. Vous avez l’occasion de connaître beaucoup de gens au fil des ans et d’établir de très bonnes relations avec eux.